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Au téléphone avec Christophe, 52 ans, ancien professeur de judo, qui ne veut plus dormir sur le ventre

PAR janick constant

Portrait of a smiling senior at home

Quand on a la détermination de Christophe pour changer ses habitudes, il n’y a pas de préjugés, pas de frein à la discussion, et on sent bien d’entrée l’ouverture d’esprit totale pour évoluer en pleine conscience.

Il n’y a guère qu’un oreiller de plumes fatigué qui a fait l’affaire tant qu’il a pu dormir sur le ventre, forcément, ça comprime, mais la posture n’est plus possible, trop de dégâts au réveil, il le sent bien, il lui faut se résoudre à dormir sur le côté.

Et là, bien évidemment, son vieil oreiller de plumes ne l’aide pas, car trop plat, trop bas, pas de quoi compenser son épaule et autoriser le relâchement musculaire.

Évolution vers le latex

Alors, un oreiller en latex est entré en scène dans son lit, d’on ne sait quelle origine, mais dans une version trop dure. L’écart est trop grand par rapport à la plume très molle qui lui était familière depuis si longtemps. La greffe ne prend pas, et ça l’embête.

Pourtant, pas de doute, le latex est pour lui la solution parce que tonique et souple, une sorte de compromis acceptable pour évoluer vers sa nouvelle position de sommeil, de côté, et s’autoriser à basculer sur le dos de temps à autre avec un soutien de nuque suffisant.

Optimisation du modèle

Aussi, Christophe m’appelle parce qu’il a remarqué notre modèle en latex naturel, annoncé comme particulièrement souple sur notre descriptif. Pour sûr, il l’est, le plus souple du marché international des formes monoblocs de latex naturel d’hévéa.
A coup sûr, c’est un bon moyen pour lui de se trouver bien sur le côté. Ça ne conviendra pas assurément pour dormir sur le ventre, et c’est tant mieux, c’est bien l’effet répulsif qu’on cherche à obtenir.

Les deux approches en oreiller

Il y a toujours deux manières d’envisager l’investissement dans un nouvel oreiller : celui qui convient le mieux pour dormir comme on en a envie, ou bien celui qui nous empêchera de le faire, ou à tout le moins celui qui s’avérera différent mais potentiellement acceptable pour tenter de changer ses habitudes.

Et en s’autorisant à basculer sur le dos, cela ouvrira de nouvelles perspectives, pour une récupération sans dommages pour son cou.

L’option est maintenant prise pour notre latex en format 45 x 65 cm, compatible avec une taie courante de dimensions 50 x 70 cm.

Une alternative demeure

Je l’indique à Christophe, une alternative demeure pour les années à venir, celle d’un duvet d’oie version consistante en 50 x 70 cm. Car il faut se l’avouer, quelqu’un qui a connu et aimé longtemps un oreiller en plume et duvet est souvent tenté d’y revenir tôt ou tard…

Ce n’est pas un problème en soi, il suffira pour Christophe de choisir le bon rembourrage quand sa nouvelle position de côté sera actée. Et sur ce plan, notre duvet consistant est une valeur sûre.

Deux conseils précieux s’il y vient un jour : d’abord ne jamais écraser le bord avec son épaule, l’oreiller la contourne. Ensuite s’autoriser un réglage self-service de la densité, en n’hésitant pas si besoin à l’insérer dans une sous-taie un peu serrante.

Instrument de compétiteur

On choisit et règle son oreiller comme le tireur le fait de son arc ou de son arbalète, le sauteur de sa perche, le virtuose de son violon. L’oreiller est un instrument de précision et de compétition, avec pour objectif chevillé au corps la médaille d’or de la récupération. Il revient à tous les champions de le modéliser en stratège pour s’y abandonner en primitif.

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