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Séverine, 46 ans, me sollicite « pour trouver enfin l’oreiller de ses rêves »…

PAR janick constant

Portrait of a beautiful senior woman, wonderful blue eyes, looking into camera,smiling

Comme souvent, je suis consulté en premier lieu pour soulager des douleurs notamment dorsales et cervicales à l’appui de l’un de nos articles chauffants.

Mais très vite, la question de l’oreiller vient sur le tapis. Elle est sous-jacente, et le choix que nous proposons est pour beaucoup d’entre vous une source de curiosité, d’étonnement, et une occasion de « réouvrir le dossier », sur un sujet lancinant qui reste en suspens pour bien des personnes.

Pourquoi la question de l’oreiller est-elle sous-jacente et prête à refaire surface à la première occasion qui se présente ? Parce qu’on n’a pas mal aux cervicales sans raison quand on a 40 ans, 50 ans, 60 ans ou davantage.

L’oreiller, cause fréquente de souffrance cervicale

Aussi, nous cherchons souvent à approfondir lors de nos échanges, pour tenter de traiter la cause plutôt que la conséquence.

L’arthrose ? Il faudra trouver autre chose. C’est un phénomène normal, par définition une dégénérescence des cartilages à laquelle aucun de nous n’échappe, mais qui ne fait pas de nous pour autant des souffre-douleurs si nous prenons soin de nous et entretenons notre corps au mieux de nos intérêts.

Quand la position ventrale est non négociable

Séverine est lucide et précise sur son propre cas, elle fixe d’entrée les choses dans l’email qu’elle m’adresse : elle dort sur le ventre, comme 7% environ de la population française, c’est ainsi depuis toujours, et il n’est pas question d’y revenir. Les choses sont claires, il convient d’en faire un paramètre non négociable.

Son kiné et son ostéopathe s’y sont cassé les dents, sans en démordre, mais elle ne lâchera pas là-dessus. Elle a ses raisons, des douleurs au niveau du ventre depuis l’enfance, et il est un fait établi par elle depuis longtemps que la position ventrale la soulage à ce niveau et lui permet de s’endormir en souffrant moins, le ventre en appui sur le matelas.

Un oreiller pour dormir comme on aime

C’est tout simplement sur le ventre qu’elle a moins mal, qu’elle s’apaise le mieux, et qu’elle se rassure. Dans un tel cas, il faut s’incliner et tâcher de lui proposer l’oreiller qui se prêtera le mieux à cette position.

Je garde le souvenir d’une famille entière qui m’expliqua que chacun dormait uniquement sur le ventre du soir au matin, les bras le long du corps, sans bouger…autant dire une disposition héréditaire, une convention établie qui n’empêchait pas parents comme enfants d’être en forme au réveil sans raideurs ni douleurs.

Symptômes d’insomnies chroniques

Avec Séverine, nous sommes en présence d’un petit gabarit, 1m55, 44 kg, une constitution fragile, un sommeil agité et entrecoupé par le stress, avec de nombreuses périodes d’insomnies…

Une réserve s’impose à ce niveau : si dormir sur le ventre est son habitude, certaines études prouvent que l’appui sur le ventre et la poitrine est un frein à l’oxygénation, tout bonnement par la pression exercée sur la cage thoracique.

Le stress lié au manque d’air

Le cerveau reçoit donc des stimuli négatifs assimilables à un écrasement, une compression, d’où des cauchemars fréquents de persécution, d’enfermement, d’écrasement, de sensation d’être ligotés, emprisonnés…

C’est le fruit d’une étude scientifique de l’Université de Hong Kong sur un panel de 670 personnes réalisée sur l’étendue d’un mois.

Soit dit en passant, elle révèle tout aussi bien un accroissement du nombre de rêves érotiques, liés à la sensation d’être enlacé et plaqué contre un autre corps…

Oreiller actuel inapproprié

En matière d’oreiller, Séverine fut mal conseillée par le passé, on lui fit prendre un oreiller en mousse à mémoire de forme… pour dormir sur le ventre… vaste plaisanterie.

Elle se débat comme elle peut avec cette masse quasiment incompressible, trop ferme, trop haute, et pas malléable pour deux sous.

Séverine se dit qu’une plante médicinale sédative serait la bienvenue dans un nouvel oreiller, tant son sommeil est compliqué, car elle a découvert nos oreillers végétaux aromatiques. Mais cela supposerait un mélange assez consistant. L’oreiller serait à nouveau trop haut et pas assez mince pour elle.

Je lui conseille donc d’envisager les plantes sous d’autres formes, en huiles essentielles ou à l’appui de nos diffuseurs aromatiques 22 x 22 cm, qui se placent à côté de soi dans le lit à proximité de l’oreiller et du visage.

Notre choix est fait

Il faut si peu d’épaisseur sous la tête quand on dort sur le ventre s’il l’on ne veut pas avoir la tête trop haute et le cou cassé !

C’est un petit duvet d’enfant qu’il faut à Séverine, notre oreiller en duvet d’oie souple en 40 x 60 cm, ni plus, ni moins.

Le duvet a ceci d’imbattable qu’il comprime formidablement bien sous la pression du corps. Comme nous parlons ici d’un petit format, et que nous le garnissons au minimum, le volume sera parfait.

Une option possible pour petits et grands

C’est un oreiller qui convient à un enfant à partir de trois ans ou à un adulte de petite stature. C’est en ce sens que nous le garnissons le moins possible pour obtenir en appui une galette souple et plate.

En rembourrage, aucune comparaison donc avec un oreiller en duvet de taille standard, nous sommes proportionnellement bien en dessous pour ménager le maximum d’enfoncement.

Beaucoup d’individus même assez grands y trouvent leur compte pour dormir sur le ventre, parce que l’oreiller, garni de seulement 300g d’un mélange 70% duvet d’oie + 3°% plumettes, n’offre pas de résistance, n’est pas étouffant alors qu’on a la moitié du visage dessus, offre peu de volume, se glisse entre les bras et soutient juste la tête comme il faut sans résister à la compression.

Le volume et la surface qu’il faut

Sa surface limitée de 40 x 60 cm suffit, les bras peuvent facilement encercler l’oreiller, ce qui est fréquent en position ventrale, la course de descente y est très réduite tant il est plat, aucun risque d’étouffement !

En réalité, c’est à peu près le seul oreiller au monde qui puisse être accepté, toléré dans cette position tant décriée mais si fréquente et ô combien précieuse pour certains d’entre nous.

Il est probable que Séverine l’appréciera aussi de temps en temps sur le dos, car c’est aussi dans cette position une petite cale souple idéale pour ne pas surélever spécialement la tête et simplement combler sans tension le creux de la nuque.

Et quelle praticité en voyage dans un bagage, roulé serré sans crainte de l’abimer ou comprimé à plat dans la valise, on aurait bien tort de s’en priver ! C’est aussi l’oreiller privilégié en trekking, camping, pour ces mêmes raisons.

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