EXPEDITION TOUS LES JOURS DANS LE MONDE ENTIER - PORT OFFERT EN FRANCE METROPOLITAINE
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29.90 €
Un oreiller de qualité se doit de pouvoir être rafraichi et rénové à tout moment à l’appui d’enveloppes de rechange correspondant au modèle d’origine.
Cela permet de garder un oreiller propre et sans traces d’usure ou d’auréoles.
Il vous suffira simplement d’ouvrir votre article par le zip encastré et de transférer son contenu dans la nouvelle enveloppe en coton bio.
Son aspect naturel écru correspond à la couleur naturelle du coton, avec absence en conséquence de traitement de blanchiment au chlore, comme de tout autre traitement chimique industriel.
Ce coton certifié bio vous garantit un contact parfaitement sain et donne l’assurance d’une véritable préservation des sols cultivés.
INFOS
Référence : ENV60
Code EAN13 : 3 760169 131577
Poids net : 140 g
Dimensions : 60 x 60 cm
Article disponible
Lavable en machine à 40°.
Mille Oreillers à Roubaix (59) - France
Large fermeture à glissière encastrée sur le côté de l’article pour un remplissage facile, avec garage de logement pour le curseur plastique. Finition passepoil coton dans la même qualité que sur les enveloppes d’origine.
Percale 100% coton certifié issu de l’Agriculture Biologique, aspect naturel écru sans blanchiment au chlore ni autres traitements chimiques, 90 fils/cm², constitue une barrière naturelle aux acariens.
Les pesticides du coton conventionnel, un désastre sanitaire et environnemental
2,4% des surfaces cultivées dans le monde, mais 24% des insecticides utilisés sur la planète, jusqu’à 30 traitements par an, 1 million de personnes intoxiquées et 22.000 morts chaque année (chiffres de l’O.M.S.)… Tel est le bilan écologique et sanitaire que l’on peut dresser aujourd’hui de la culture du coton.
La mer d’Aral irrémédiablement polluée et en grande partie asséchée, c’est la conséquence de la monoculture chimique irriguée du coton, développée depuis 1960 autour de cette mer intérieure, une des plus grandes au monde. On trouve, dans les anciennes républiques soviétiques qui bordaient la mer d’Aral comme ailleurs, parmi les produits utilisés pour la culture du coton, des fongicides, des insecticides (y compris des organochlorés interdits en Europe comme le DDT ou le lindane), des désherbants, et des défoliants pour permettre la récolte mécanique.
Pourquoi la culture du coton est-elle la plus traitée au monde, alors que cette plante a été cultivée pendant des millénaires sans aucun apport chimique ? Aux causes habituelles de la multiplication des traitements chimiques en agriculture – mono culture, variétés sélectionnées, recherche du rendement maximum – s’ajoute le fait que nul ne s’est préoccupé de la présence d’éventuels résidus, puisque le coton n’est pas une culture alimentaire. Et peu importe si les petits paysans des pays pauvres s’intoxiquent !
Extrait de l’ouvrage « Vêtement, la fibre écologique », de Myriam Goldminc et Claude Aubert, aux Editions Terre Vivante.
Vous êtes nombreux à vouloir faire bénéficier vos proches des bienfaits de nos articles, c’est une belle façon de leur faire profiter de vos découvertes et de ces remèdes naturels anciens qu’il est si important de transmettre !
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