TOUT EST DISPONIBLE ! PRIVILEGIEZ LES POINTS-RELAIS POUR UNE LIVRAISON POSSIBLE EN J+1 JUSQU'AU 24 DECEMBRE !
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21.90 € – 29.90 €
Ces protections pur coton molletonné ajoutent encore plus de confort à vos oreillers grâce à leur épaisseur.
Elles sont coupées généreusement pour laisser aisance et souplesse sans risquer de comprimer le coussin, et c’est une barrière naturelle végétale de premier choix contre la transpiration et les auréoles, grâce à son haut pouvoir absorbant.
Car le premier obstacle à la longévité d’un oreiller, c’est l’humidité secrétée par la tête. Nous sélectionnons ici une qualité vosgienne exceptionnelle, sans équivalent connu en protections d’oreillers 100% biologiques.
L’aspect écru vous garantit l’absence de blanchiment au chlore, car sachez-le, un coton véritablement naturel n’est pas blanc !
INFOS
Dimensions au choix : pour mini coussin 30 x 40 cm,
et pour oreillers 40 x 60 cm, 50 x 70 cm, 60 x 60 cm et 65 x 65 cm
Article disponible
Lavable en machine à 40°, séchage naturel en suspension sans sèche-linge.
Mille Oreillers à Roubaix (59) - France
Forme portefeuilles avec large rabat intérieur, marges dimensionnelles prévues pour ne pas comprimer le coussin et compenser le retrait naturel des premiers lavages.
Molleton 100% coton certifié issu de l’Agriculture Biologique, aspect naturel écru sans blanchiment au chlore ni autres traitements chimiques, épaisseur 200g/m², décrué et gratté 2 faces.
Les pesticides du coton conventionnel, un désastre sanitaire et environnemental
2,4% des surfaces cultivées dans le monde, mais 24% des insecticides utilisés sur la planète, jusqu’à 30 traitements par an, 1 million de personnes intoxiquées et 22.000 morts chaque année (chiffres de l’O.M.S.)… Tel est le bilan écologique et sanitaire que l’on peut dresser aujourd’hui de la culture du coton.
La mer d’Aral irrémédiablement polluée et en grande partie asséchée, c’est la conséquence de la monoculture chimique irriguée du coton, développée depuis 1960 autour de cette mer intérieure, une des plus grandes au monde. On trouve, dans les anciennes républiques soviétiques qui bordaient la mer d’Aral comme ailleurs, parmi les produits utilisés pour la culture du coton, des fongicides, des insecticides (y compris des organochlorés interdits en Europe comme le DDT ou le lindane), des désherbants, et des défoliants pour permettre la récolte mécanique.
Pourquoi la culture du coton est-elle la plus traitée au monde, alors que cette plante a été cultivée pendant des millénaires sans aucun apport chimique ? Aux causes habituelles de la multiplication des traitements chimiques en agriculture – mono culture, variétés sélectionnées, recherche du rendement maximum – s’ajoute le fait que nul ne s’est préoccupé de la présence d’éventuels résidus, puisque le coton n’est pas une culture alimentaire. Et peu importe si les petits paysans des pays pauvres s’intoxiquent !
Extrait de l’ouvrage « Vêtement, la fibre écologique », de Myriam Goldminc et Claude Aubert, aux Editions Terre Vivante.
Vous êtes nombreux à vouloir faire bénéficier vos proches des bienfaits de nos articles, c’est une belle façon de leur faire profiter de vos découvertes et de ces remèdes naturels anciens qu’il est si important de transmettre !
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