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22.90 €
Cette taie en forme de fourreau est conçue pour recouvrir trois articles différents de la gamme Mille Oreillers : le rouleau en balles d’épeautre, l’oreiller chinois et l’oreiller suédois.
Au-delà, elle convient pour tout mini-polochon jusqu’à 15 cm de diamètre et 40 cm de longueur maximum. À chaque extrémité, deux cordelettes de serrage en coton tressé transforment votre rouleau en joli bonbon !
Son aspect naturel écru correspond à la couleur brute du coton, avec absence en conséquence de traitement de blanchiment au chlore, comme de tout autre traitement chimique industriel.
Ce coton certifié bio, assorti à celui de nos taies d’oreillers, vous garantit un contact parfaitement sain et donne l’assurance d’une véritable préservation des sols cultivés.
INFOS
Référence : TROUL
Code EAN13 : 3 760169 130464
Poids net : 60 g
Dimensions : longueur 40 cm x diamètre 15 cm
Article disponible
lavable en machine à 40°.
Mille Oreillers à Roubaix (59) - France
Confection en fourreau muni de cordelettes de serrage en coton écru aux deux extrémités.
Percale 100% coton certifié issu de l’Agriculture Biologique, aspect naturel écru sans blanchiment au chlore ni autres traitements chimiques, 90 fils/cm², constitue une barrière naturelle aux acariens.
Les pesticides du coton conventionnel, un désastre sanitaire et environnemental
2,4% des surfaces cultivées dans le monde, mais 24% des insecticides utilisés sur la planète, jusqu’à 30 traitements par an, 1 million de personnes intoxiquées et 22.000 morts chaque année (chiffres de l’O.M.S.)… Tel est le bilan écologique et sanitaire que l’on peut dresser aujourd’hui de la culture du coton.
La mer d’Aral irrémédiablement polluée et en grande partie asséchée, c’est la conséquence de la monoculture chimique irriguée du coton, développée depuis 1960 autour de cette mer intérieure, une des plus grandes au monde. On trouve, dans les anciennes républiques soviétiques qui bordaient la mer d’Aral comme ailleurs, parmi les produits utilisés pour la culture du coton, des fongicides, des insecticides (y compris des organochlorés interdits en Europe comme le DDT ou le lindane), des désherbants, et des défoliants pour permettre la récolte mécanique.
Pourquoi la culture du coton est-elle la plus traitée au monde, alors que cette plante a été cultivée pendant des millénaires sans aucun apport chimique ? Aux causes habituelles de la multiplication des traitements chimiques en agriculture – mono culture, variétés sélectionnées, recherche du rendement maximum – s’ajoute le fait que nul ne s’est préoccupé de la présence d’éventuels résidus, puisque le coton n’est pas une culture alimentaire. Et peu importe si les petits paysans des pays pauvres s’intoxiquent !
Extrait de l’ouvrage « Vêtement, la fibre écologique », de Myriam Goldminc et Claude Aubert, aux Editions Terre Vivante.
Vous êtes nombreux à vouloir faire bénéficier vos proches des bienfaits de nos articles, c’est une belle façon de leur faire profiter de vos découvertes et de ces remèdes naturels anciens qu’il est si important de transmettre !
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